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vendredi 28 décembre 2018

La réalité sur la ligne du temps : réflexions grandioses dédiées à la magie de Noël et à la vie qui trépasse par





Patrick FRASELLE

21 Décembre 2017

Publié par Patrick FRASELLE
La vieillesse est un "no phrase".

La vieillesse est un "no phrase".
La réalité sur la ligne du temps : réflexions grandioses dédiées à la magie de Noël et à la vie qui trépasse

La condition humaine – cette ignoble injustice. Cette rance rancoeur sans coeur pour enculeurs sans beurre. La condition humaine tellement différente pour chacun d'entre nous. Cette violence de la vie consacrant tout ou presque aux situations binaires. Sans solutions ou presque pour chaque cas inique unique. Sales pourritures de sales riches de droite et de gauche et sales crevures pauvres d'où ils pleuvent...

A partir de la soixantaine une majorité des parents ainsi que des amis ont décédé autour de toi. La solitude. Les ruptures avec toutes les petites amies sont consommées. La solitude. Retrouver une nouvelle petite amie pédophilement jeune, vieillie ou vieille – beuh - et t'as vu le prix d'une place de cinoche avant de la trifougner la vioque de 69 ans comme un vieux hachis Parmentier même pas belle ? Hi, ha ! 

Pour la jeune, il faudra le resteau et la promesse du parfum à 1000 euros le litre en plus. 
S'accrocher à quelques liens comme derniers rais de lumière impotente. Recharger le charbon de son tissu social devenu défectueux. Sortir, ressortir, sortir, rentrer, aller voir des expos dont on a rien à faire et flirter avec quelques vernissages aux chips de chez Leader Price. Vernissages assortis de la bière du café du coin - enfin - qui décrasse le gosier de l'infecte rouge de chez Aldi.

En fait, quand l'on va à un vernissage c'est pour râler au café du coin.

Le vide la grisaille et le reste infect pour rogner sur l'enthousiasme. Ce couvercle et cette humidité qui vous brise les autres. Ce monde ce cloaque ce pourrissoir est un enfer. Seuls les beaux animaux les belles fleurs nous font la nique. Jamais rien vu d'aussi vomitif d'aussi répugnant d'aussi attardé d'aussi gerbant d'aussi dégoûtant d'aussi assourdissant de laideur sclérosante pas rose qu'un être humain pas rose.

A 62 ans une relative bonne santé globale. Les genoux et le dos perclus d'arthrose. Pour les six heures de suite au piano c'est juste un peu foutu. Pour les promenades dans les bois avec les genoux vermoulus tu feras juste un peu moins ton Eddy, merde. 

Pour la brouette japonaise tu changeras de pays.

Cours de physique pour dernier de la classe, le temps ne passe pas, le temps n'existe pas. Le temps est une abstraction. Et, est une rationalisation de l'Homme pour que son cerveau ratio-émotionnel puisse se constituer des points de repère. Ainsi organiser ses journées soumises et gagner quelques copeaux de sciure sur son angoisse. La mort t'emporte sur la ligne du temps ; à partir de la soixantième année, tu rentres dans l'hiver de ta vie et rien. Rien. Rien de rien ne peut ralentir ou inverser le processus même quand t'es bien sucé. A trente ans tu bandes comme un turc et tu te crois immortel. Tu vas mourir, tu ne sais pas quand. Et tu prends du Cialis quand tu veux que ta scie elle, elle scie la lisse beaucoup plus jeune, la pisse est meilleure. La chance c'est quand ton corps contient encore tous ses morceaux de cambouis et que tu ne chies pas sous toi. Ou bien que tu ne manges pas à la paille. Que tu ne marches pas avec un Gado, (« Brigitte Gado, Gado... » chanson d'époque) que tu as un beau dentier pour certains édentés encore très séducteurs. Et que tu as un appareil de sourd vissé à l'oreille pour te nettoyer le cérumen qui coule sur ton col de chemise. Pour les lunettes de lecture, c'est comme pour le vin des vernissages à Liège, t'en as à deux zeuros chez Aldi.

La mort va te faire mourir et tu meures avec ou sans tumeur tous les jours un petit feu. Faut voir l'humeur du jour en fait ? La mort va t'emporter de cette vie qui t'a tant porté et tu n'en sauras rien car tu n'est pas un saurien. Tu n'es qu'une merdasse d'humain. Le mieux est de te dire que la chose est acquise, de ne plus y penser. De mettre tes affaires en ordre et, de sourire à la vie. Souris infra-saurien. Sourire à la vie comme un grand benêt béat. De prendre ton assurance décès et de déshériter les quelques parents ingrats ou qui t'ont fait chier ou qui t'ont couru sur les charlottes. Fais ! Fais ton gros méchant, ça fait du bien aux ch'veux. Tu verras !

Souris à la vie surtout avant de mourir. Jouis, bois, fume des Havanes, baise et fais-toi sucer l'chicon ou ce qu'il en reste... Enfin, ça, c'est si tu as de l'argent sinon bein tu f'ras un noeud d'dans ou bien tu f'ras branlette city ! Haaa, la condition humaine. Les femmes sont chair et sont très chères. Les femmes sont toutes des banquières et, elles te laissent un bac de bières pour mieux te voler en convolant. Minable petit, va !

Mais c'est que tu deviendrais frustré et agressif sais-tu sale petit con ! QUOI ! Tu as osé voler de l'argent pour t'acheter tes courses. Mais... tu travailles, mon gars et, t'auras de l'argent. Bon t'auras pas les six véhicules de Nicolas Culot Master en Ecole Logique mais si tu te crèves bien pour un patron voleur et un politicaillon voleur auquel tu lèches le cul, tu pourras te faire un petit Aldi pour le WE du conditionnement culturel et religieux qu'est cette belle fête de merde, consumériste de sous-merdine et hypocrite qu'est Noël.

Hum, toi, mon beau sapin, je sens ta pine rentrer fort dans mon anus de crétin formaté.

Vois-tu la condition humaine et sa - ta - violence. Ton milieu de naissance – cette violence abjecte quand il pleut tout le temps, que la mer est dans un paquet de sel iodé et que la plage est dans Liège-plage avec quelques sacs de sable de chez Brico place du Marché pour te faire marcher. Ton milieu de naissance – cette autre violence abjecte. Es-tu pauvre jusque la crevure ou es-tu né avec une cuillère en or dans le trou du cul comme Jean d'O ou tant d'autres sous-merdes politiques ? Ton capital biologique de naissance cette autre violence abjecte avec ton QI d'ablette ou ton intelligence marquée up up comme la mienne. Ta gueule de con du samedi soir ou ton physique d'Elvis ou d'Alain cette autre violence abjecte pour laquelle tu ne peux rien. Rien !

A Malte il y a du soleil toute l'année ; en Belgique, il y a de la pluie toute l'année et – 15 – jours de soleil par an si tu es gentil et que tu fermes ta gueule.

Haaa, la condition humaine et sa violence abjecte. Bah, pô grave mon gars, avec ton look de con, ton portefeuille vide, ta queue qui ramolli, ton appareil de sourd et tes lunettes à deux balles de chez Aldi. Ta poubelle en panne qui démarre pas, ton élégance relative, il te reste la TEC pour aller prendre un verre au Marché de Noël à Liège. Les pieds dans la boue avec tous les crétins de ton espèce, pour râler sur la condition humaine. Et penser qu'il est mieux de faire les magasins avec la carte Visa pour t'endetter et te formater. De caler ton gros cul plein d'soupe - ou de MERDE - devant la téloche ou de carrer ce qu'il te reste de ton demi-cerveau plein de MERDE devant le match de foot.

La révolution. « La révolution, parlons-en » comme dit Léo Ferré.

La révolution, c'est pour demain (il suffit d'attendre).

Cet humain, ce frère humain que j'aime... comme disait Charles BAUDELAIRE.

Triste Noël pauvre con et sois content avec ça !

Haaa, la condition humaine, ce charnier maudit.

Triste idiot sans foi ni loi.

Patrick FRASELLE 21 décembre 2017
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La classe humaine vue de son côté pourri et crapuleux et non du côté de sa pauvreté et de sa douleur victimaires
"La race humaine sur terre me répugne tout autant que le pus de l'abcès sur une tartine de pain d'épice. Le plus con des cafards, la plus vilaine des charognes nous est supérieur en tout. La race humaine est le peuple élu de la fange et de la médiocrité."
"La classe politique est une fosse à purin à ciel ouvert."
"L'Homme ce détritus d'humanité."
DIEUDONNE

jeudi 27 décembre 2018

"Notre Père qui êtes aux cieux, restez-y" Jacques PREVERT







"Notre Père qui êtes aux cieux, restez-y" Jacques PREVERT

25 Décembre 2017
 |
Publié par Patrick DACO

"Notre Père qui êtes aux cieux, restez-y" Jacques PREVERT
A la télévision (vision de loin - est-ce comme cela que l'on voit "Dieu" dans le cosmos ?) il y a comme une bande de psychopathes qui regardent un bébé en bas âge tout nu tout en chantant des incantations curieuses ?
Ils sont tous habillés comme des clowns de bons marchés.
Ils sont dans un grand bâtiment avec une espèce de paratonnerre en forme de croix sur le toit et comme le proprio n'a plus d'argent, ils ont mis un âne et un boeuf qui soufflent dessus pour réchauffer le petit bébé, qui lui, ne sait pas où il crèche ?
A mon avis comme ils ont mis la "mire" dessus, son anus est "hors" et, en un mot comme "en cent", s'est sûrement une secte de pédophiles qui a comme mot d'ordre - de raconter ses péchés car c'est là qu'on fesse -.
Pendant qu'il y en a un qui picole avec du vin de messe, un autre distribue des chips blancs non salés.
On dirait une farce, comme un vaudeville avec Pierre Arditi au théâtre ce soir !
En face, il y a des centaines de personnes qui ne disent pas bonjour à leurs voisins, qui appellent la police quand une branche d'arbre dépasse dans leur jardin, mais qui répètent en choeur et en coeur qu'il faut être bon avec son prochain...
Après, il y un bedeau aviné et masturbateur de petits enfants de choeur, avec comme une haleine de sperme juvénile, qui pue l'encens et qui "encense" les personnes...
Il passe avec un grand pot dans lequel ces personnes jettent chacune 50 centimes d'euros pour faire le bien de l'humanité pendant un an. Dieu est bon et le saigneur vous le rendra ! Pour sûr !
Après, si un SDF crève sur le trottoir, il n'ont plus rien à faire car, ils ont déjà donné et ainsi tout est en ordre humainement !
Ils ont fait ce qu'il y avait à faire et, leur conscience est tranquille.
Le dimanche, ils font le bien de l'humanité en allant à l'église.
Je ne sais pas ce que c'est comme grande fête annuelle ?
Mais j'ai lu sur Wikpédia qu'on appelait cela le catholicisme.
Beuh !
Connaîs pas !

Patrick DACO est là, hic !


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Patrick FRASELLE 21 Décembre 2017 Publié par Patrick FRASELLE La vieillesse est un "no phrase". La réalité...